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Filmographie de Brad Pitt
Brad Pitt est un acteur et producteur de films américains dont la carrière d'acteur a commencé en 1987 avec des rôles dans la série télévisée à succès Fox 21 Jumpstreet. Il est ensuite apparu dans des épisodes d'émissions de télévision à la fin des années 1980 et a joué son premier rôle majeur dans le film Apprenti tueur (1989). Il gagne en notoriété grâce à Thelma & Louise (1991) et Et au milieu coule une rivière (1992). Il a ensuite assumé le rôle de vampire Louis de Pointe du Lac dans le drame horrifique Entretien avec un vampire (1994) et pour sa performance dans le drame épique Légendes d'automne (1994), il a remporté son premier Golden Globe Award du meilleur acteur[1].
Brad Pitt a joué dans le thriller dirigé par David Fincher dans Seven (1995), où il interprète un détective sur la piste d'un tueur en série psychopathe[2]. Le rôle d'un malade mental dans le film de science-fiction L'Armée des douze singes lui a valu le Golden Globe Award du meilleur acteur de soutien et une nomination aux Oscars dans la même catégorie[3],[4]. Il l'a suivi avec le rôle de Heinrich Harrer dans le biopic Sept ans au Tibet (1997). Il se relança avec Fincher pour jouer dans le film apocalyptique Fight Club (1999) dans un rôle qui l'obligea à apprendre la boxe, le taekwondo et le grappling[5]. Échec critique et commercial, le film est pourtant devenu depuis culte[6]. Pitt a interprété Rusty Ryan dans la série Ocean's Trilogy (2001-2007)[7]. En 2002, il a obtenu une nomination aux Primetime Emmy Award pour son apparition dans la sitcom Friends[8]. Cette même année, Pitt a lancé une société de production, Plan B Entertainment dont la première sortie était le film de guerre épique Troie (2004). Il a joué un assassin en face d'Angelina Jolie dans la comédie d'action Mr. & Mrs. Smith (2005).
Pitt a produit le drame policier de 2006 Les Infiltrés et a joué aux côtés de Cate Blanchett dans le drame multi-narratif Babel (2006); le premier a remporté l'Oscar du meilleur film. La représentation de Pitt de l'homme éponyme qui vieillit à l'envers dans le drame L'Étrange Histoire de Benjamin Button (2008) lui a valu un Oscar pour la nomination du meilleur acteur. Il a joué dans le film de guerre Inglourious Basterds (2009), et a produit le film de super-héros Kick-Ass (2010) et sa suite en 2013. En 2011, il a été salué par la critique pour avoir produit et joué dans deux films - le drame expérimental The Tree of Life et le drame biopique sportif Le Stratège - qui ont tous deux été nommés aux Oscars du meilleur film. Il a également remporté une nomination pour le meilleur acteur pour ce dernier. Son plus grand succès commercial est venu avec le film apocalyptique World War Z (2013), qui a rapporté un total de 540 millions de dollars dans le monde[9]. Pitt a produit le drame de la période 12 Years a Slave (2013), pour lequel il a remporté l'Oscar du meilleur film. En 2014, il a joué dans le film de guerre Fury qui a reçu des critiques positives de la critique et s'est avéré un succès au box-office. En 2019, il a joué avec Leonardo DiCaprio dans le film de Quentin TarantinoIl était une fois à Hollywood et dans l'épopée de science-fiction de James Gray, Ad Astra.
Cinéma
[modifier | modifier le code]Télévision
[modifier | modifier le code]Théâtre
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑Sati Achath, Hollywood Celebrities: Basic Things You've Always Wanted to Know, AuthorHouse, (ISBN 978-1-4634-1157-2), p. 11
- ↑Jessica Winter, Lloyd Hughes, Richard Armstrong et Tom Charity, The Rough Guide to Film, Rough Guides, (ISBN 978-1-84836-125-6), p. 169
- ↑Cory Hamblin, Serket's Movies: Commentary and Trivia on 444 Movies, Dorrance Publishing, (ISBN 978-1-4349-9605-3), p. 3
- ↑Laura Barcella, The End: 50 Apocalyptic Visions From Pop Culture That You Should Know About...Before It's Too Late, Houghton Mifflin Harcourt, (ISBN 0-544-05309-5), p. 10
- ↑Dave Randolph, Action Movie Hero Workouts: Get Super Crime-Fighter Ripped, Ulysses Press, (ISBN 978-1-61243-074-4), p. 62
- ↑Ansen, « Is Anybody Making Movies We'll Actually Watch In 50 Years? », Newsweek,
- ↑Andrew DeWaard et R. Colin Tait, The Cinema of Steven Soderbergh: Indie Sex, Corporate Lies, and Digital Videotape, Columbia University Press, (ISBN 978-0-231-85039-1), p. 50
- ↑« 54th Emmy Awards Nominees and Winners » [archive du ], Emmy Award(consulté le )
- ↑« Brad Pitt Movie Box Office Results » [archive du ], Box Office Mojo(consulté le )
- ↑Christopher Schaberg et Robert Bennett, Deconstructing Brad Pitt, Bloomsbury Publishing, (ISBN 978-1-62356-193-2), p. 231
- ↑Maitland McDonagh, The fifty most erotic films of all time: from Pandora's box to Basic instinct, Carol Pub. Group, (ISBN 978-0-8065-1697-4), p. 34
- ↑ ab et c« Brad Pitt Filmography, Biography » [archive du ], Fox News Channel, (consulté le )
- ↑« Happy Together (1989) » [archive du ], The New York Times(consulté le )
- ↑« Brad Pitt in pictures » [archive du ], The Daily Telegraph(consulté le )
- ↑Kevin Thomas, « Across the Tracks' Races Toward an Emotional Finish », Los Angeles Times, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Janet Maslin, « On the Run With 2 Buddies And a Gun », The New York Times, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Tim Appelo, « Why Brad Pitt's Early Film 'Johnny Suede' Was Reworked », The Hollywood Reporter, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑« Contact (1992) » [archive du ], AllMovie(consulté le )
- ↑(en) « Cool World », sur TVGuide.com(consulté le )
- ↑Caryn James, « Film View; Redford Lands the Big One », The New York Times, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Janet Maslin, « Review/Film; A Tour of Homicidal America », The New York Times, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
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- ↑Melissa Pierson, « The Favor », Entertainment Weekly, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Todd McCarthy, « Review: ‘Interview with the Vampire’ », Variety, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Janet Maslin, « Film Review; Grit vs. Good Looks In the American West », The New York Times, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Peter Travers, « Seven », Rolling Stone, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑Nick Hilditch, « 12 Monkeys (1995) » [archive du ], BBC, (consulté le )
- ↑Janet Maslin, « Artificiality Vanquishes An Authenticity Issue », The New York Times, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
- ↑« The Devil's Own », Entertainment Weekly, (lire en ligne[archive du